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Un mystère hante l’élection présidentielle : et si les sondages se trompaient complètement ? 

Les commentateurs en parlent, les politiciens professionnels le craignent, les sondeurs s’interrogent.

Leur conviction : rien n’est joué.

Leur question : existe-t-il un vaste réservoir de suffrages que personne ne parvient encore à détecter, mais qui pourrait déjouer les pronostics au soir du premier tour ?

Ma réponse : ce réservoir existe bel et bien, et surtout, il est une excellente nouvelle pour la démocratie et pour la France.

Il existe plusieurs manières d’évaluer les intentions de vote.

Le plus souvent, les médias parlent de la méthode statistique traditionnelle : celle des instituts de sondage. Elle consiste à demander à des gens qui aiment être sondés et qui se sont pour cela inscrit sur des « panels », quel est leur candidat préféré.

Notez bien : à des gens qui aiment être sondés.

Vous qui me lisez, avez-vous déjà été sondé ?
Non, 99% d’entre vous répondront non.

Car il est impossible d’interroger les autres, ceux qui ne savent pas comment faire partie de ces « panélistes », ceux qui se méfient des sondages, ou ceux qui les détestent carrément. Ceux-là sont innombrables, sans doute de plus en plus nombreux.

Et, parmi eux, il n’y a pas que des abstentionnistes ou des « antisystèmes » : on y trouve une grande diversité d’électeurs qui refusent tout simplement de donner leur opinion. J’en ai rencontré tous les jours lors de ma campagne.

Mais il existe une autre manière de sonder les intentions d’un peuple : la réalité de la vie, effective, concrète, incarnée, des citoyens français.

  • Que Reconquête!, mon parti fondé il y a à peine trois mois, compte aujourd’hui 120 000 adhérents et soit le plus puissant parti de France, voilà une information concrète.
  • Que mes meetings soient incontestablement les plus peuplés et les plus fervents de la campagne électorale, voilà une certitude fondée.
  • Que nous soyons les seuls à pouvoir remplir la place du Trocadéro de 100 000 patriotes venus des quatre coins de France, quand mes concurrentes ne dépassent pas les 6 000 personnes, est une information capitale. Dimanche dernier, nous avons vu le nombre et nous avons vu la ferveur : ce sont les deux déterminants d’un vote massif, car le nombre se démultiplie et car la ferveur est contagieuse.
  • Que mes vidéos et mes passages à la télévision obtiennent des scores incomparablement plus élevés que ceux de mes adversaires, personne n’ose le nier.
  • Que les dons, les messages de soutien et les témoignages de sympathie affluent vers moi comme vers aucun autre candidat, c’est aussi vrai que deux et deux font quatre et cela est chaque jour plus vrai et plus impressionnant que la veille, quels que soient les scores des instituts.

Un proverbe dit : « Crois ce que tu vois, pas ce qu’on te dit. »

Je vois la surabondance des preuves et je vois l’omniprésence de mes sympathisants dans tous les secteurs de la société française.
Vous la voyez aussi et vous sentez, sur tous les marchés de France, qu’elle se situe bien au-delà de 12 %.

Vous sentez que parmi les millions de soutiens qui convergent vers ma candidature, il y a un très grand nombre d’abstentionnistes. Ils me disent que cette fois, ils veulent aller voter.

Pourquoi ?

Parce que je ne suis pas un politicien professionnel, parce que je n’ai jamais vécu aux crochets du contribuable, parce que je ne suis pas à la recherche d’un poste, parce que je renverse le jeu des partis traditionnels et parce que je suis le plus grand opposant à Emmanuel Macron.

Ils savent qu’ils peuvent compter sur moi.
Je sais que je peux compter sur eux.

Enfin, il y a ceux qui ne peuvent pas dire qu’ils vont voter pour moi. Parce que leurs milieux professionnels ou familiaux sont soumis au régime de la terreur du politiquement correct.

Je pense à ceux qui viennent me dire leurs craintes : à ces Français des banlieues, à ces fonctionnaires, à ces enseignants, à ces artistes, qui doivent se cacher par crainte des représailles.
Je pense à tous ces résistants avec affection. Ils ne sont pas des lâches : ils sont des cibles. Ils placent leur espoir en ma candidature. Je compte sur leur revanche dans l’isoloir.
Le soir du premier tour sera leur soir.

Additionnez tous ces sondages, tous ces sympathisants si enthousiastes, tous ces abstentionnistes, tous ces silencieux, et vous obtenez un peuple.

Un peuple impossible à quantifier, mais qui est là, impatient et digne, prêt à créer la surprise.
Un peuple qui veut me voir dire la vérité française à Emmanuel Macron, les yeux dans les yeux, pendant le débat du second tour.
Un peuple qui veut que la France reste la France.
Un peuple qui sait qu’impossible n’est pas français.

Dans 11 jours, notre peuple ridiculisera tous les faux prophètes et tous les mauvais experts.

Ce peuple, c’est vous.

Cet événement historique du 10 avril à 20 heures, c’est nous.

À demain pour la suite.

Vive la France !

Éric Zemmour

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