Coup dur pour les Français qui sont propriétaires de leur habitation. Après les multiples augmentations qui frappent le portefeuille des Français depuis le début de l’année, c’est bientôt la taxe foncière qui va être revue à la hausse.
La première prétexte invoquée par la Macronie est la revalorisation de 3,4% des valeurs locatives cadastrales, soit la valeur estimée du bien immobilier servant de base aux calculs des taxes foncières et d’habitation, apparié à l’inflation de 3,6% qui déferle en ce moment sur l’Hexagone.
En clair, la Macronie bousille l’économie française en provocant l’inflation galopante, puis elle se sert de la même inflation pour vous faire les poches.
En outre, la méthode de calcul de la taxe a évolué depuis 2018, puisqu’elle est désormais indexée sur l’évolution de l’indice des prix à la consommation harmonisé.
C’est encore les tours de passe-passe comptable de la bureaucratie macroniste qui sont censés justifier de nous prendre encore plus d’argent. Pitoyable…
La taxe foncière est payé par les propriétaires, mais son augmentation va se ressentir aussi par les locataires à la cause du mécanisme de compensation dans le logement locatif.
Si toute la France devrait la sentir passer, certaines communes vont être plus fortement touchées que d’autres. Une décision que prendront les mairies, syndicats intercommunaux et les intercommunalités, qui votent pour décider quels taux appliquer à la base locative.
Une bonne opportunité pour surveiller les agissements de ceux qui nous gouvernent dans nos communes.
Les métropoles gouvernées par la gauche vont en profiter de manière éhontée: la taxe foncière augmentera pour atteindre 15,3% à Tours, 5% à Dijon ou encore 8,6% à Annecy. Enfin, pour Strasbourg, qui a déjà connu une augmentation de 5% l’an dernier, l’impôt va passer à 12,6%, en raison notamment des lubies pseudo-écolo de la majorité. Au nom de la soit-disant “transition écologique”, la maire multiplie des investissement dans des pistes cyclables etc.