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Lien immigration-insécurité : toute la vérité après 40 ans de mensonges

La vérité :

Selon une étude du CNRS, menée sur 15 ans, les Français autochtones sont 2 fois plus victimes de faits graves qu’ils n’en sont les auteurs. Les Africains d’origine (Afrique du Nord et subsaharienne) sont auteurs de faits graves trois fois plus qu’ils n’en sont victimes.

Les mensonges :

Il suffit de taper “immigration-insécurité” sur Google pour voir défiler un chapelet d’articles essayant de nous démontrer que l’immigration n’a rien à voir avec l’insécurité. Nos bien-pensants y développent des trésors d’imagination pour exonérer les immigrés de la violence de rue, celle qui transforme les quartiers paisibles en coupe-gorge. Et si les 7% d’étrangers vivant en France occupent 24% des places de prison, ce serait parce qu’ils sont persécutés par la police et la justice. 

– Ils sont beaucoup plus contrôlés que les natifs

– Ils sont donc arrêtés plus souvent

– Devant le juge, ils sont plus souvent condamnés

– Ils sont donc plus souvent incarcérés

Quant aux délinquants français d’origine immigrée, si nombre d’entre eux sont “défavorablement connus des services de police”, selon la formule consacrée, c’est parce qu’ils seraient victimes de racisme, de discrimination et de déclassement social, qui sont le terreau de la délinquance, c’est bien connu. Discours mensonger qui n’a pas changé d’une virgule depuis quarante ans.

Car c’est oublier qu’en 1950, le niveau de vie des citoyens était cinq fois inférieur à celui d’un immigré d’aujourd’hui, mais l’insécurité était pourtant cinq fois inférieure à celle que nous subissons.

Bien entendu, pour chaque crime et délit paraissant dans la presse, pas question de donner le nom ou l’origine d’un délinquant dès lors qu’il ne s’appelle ni Kevin, ni Mattéo.

Rappelons que Jack Lang réclamait davantage d’imams dans les prisons, puisque celles-ci hébergeaient 2/3 de musulmans. En tant que président de l’Institut du monde arabe, il n’a pas sorti ce chiffre de son chapeau…

https://fr-fr.facebook.com/institutdumondearabe/posts/1074560619237567/

Les 1 000 agressions gratuites par jour et les 120 attaques au couteau quotidiennes sont sans doute des délires d’extrême droite. Ces crimes étaient inexistants en 1970. La France est devenue le pays le plus dangereux d’Europe, l’insécurité ne cesse d’exploser, mais l’immigration n’y serait pour rien.

Assez de mensonges. Éric Zemmour a parfaitement résumé la réalité du lien immigration/insécurité dans son programme présidentiel, avec des chiffres issus de documents officiels incontestables (Assemblée nationale, Insee, ministère de l’Intérieur et de la Justice).

https://ripostelaique.com/immigration-insecurite-64-des-francais-approuvent-zemmour.html

https://ripostelaique.com/le-lien-delinquance-immigration-est-incontestable-et-les-chiffres-sont-accablants.html

La délinquance des étrangers et des mineurs isolés explose d’année en année.

Et en 2020, une étude du Salon Beige donnait démontrait combien le discours officiel défendait l’indéfendable.

https://www.lesalonbeige.fr/lien-entre-immigration-et-delinquance-les-10-preuves-scientifiques-et-sourcees/

En voici la preuve en 10 points :

Preuve 1 : la surreprésentation de la criminalité étrangère selon le ministère de l’Intérieur

Alors que les étrangers représentent environ 6 % de la population française, ils représentent :

  • 16 % des mis en cause pour homicides
  • 15 % des mis en cause pour coups et blessures volontaires
  • 14 % des mis en cause pour violences sexuelles (viols, tentatives de viol et agressions sexuelles)
  • 17 % des mis en cause pour vols avec armes
  • 32 % des mis en cause pour vols violents sans armes
  • 27 % des mis en cause pour vols sans violence
  • 27 % des mis en cause pour cambriolages
  • 26 % des mis en cause pour vols d’accessoires et dans les véhicules
  • 14 % des mis en cause pour “escroqueries et infractions assimilées”.

Par ailleurs, alors que les étrangers originaires de pays d’Afrique correspondent à 3 % de la population vivant en France, ils représentent :

  • 9 % des mis en cause pour coups et blessures volontaires
  • 11 % des mis en cause pour vols avec armes
  • 24 % des mis en cause pour vols violents sans armes
  • 17 % des vols sans violence contre les personnes
  • 13 % des mis en cause pour cambriolage
  • 18 % des mis en cause pour vols d’accessoires et dans les véhicules
  • 8 % des mis en cause pour escroqueries et infractions assimilées.

On peut conclure de ces chiffres que les étrangers sont en moyenne 3 fois plus souvent mis en cause pour homicides que les Français, et 8 fois plus souvent mis en cause pour vols violents sans armes.

Preuve 2 : le pourcentage d’étrangers parmi les mis en causes selon l’ONDRP

  • 2009 : 15,7 %
  • 2010 : 16,4 %
  • 2011 : 17,9 %
  • 2012 : 18,6 %
  • 2013 : 20,2 %

Preuve 3 : l’étude de Hugues Lagrange

En 2010, le sociologue Hugues Lagrange publie “Le déni des cultures”, et conclut : à statut social égal, « les adolescents éduqués dans des familles (originaires de pays) du Sahel sont trois à quatre fois plus souvent impliqués comme auteurs de délits que les adolescents élevés dans des familles autochtones ; et ceux qui sont éduqués dans des familles maghrébines, deux fois plus ».

Preuve 4 : l’étude de Sebastian Roché sur le lien entre immigration et délinquance

L’enquête de délinquance auto-rapportée conduite en 2000 par M. Sebastian Roché et publiée dans La Revue Internationale de Criminologie apporte également des chiffres sur le sujet de la délinquance des jeunes d’origines étrangère en France :

  • Les jeunes d’origine maghrébine sont presque deux fois plus nombreux que les Français autochtones à commettre plus de dix actes peu graves
  • Les jeunes d’origine maghrébine sont presque trois fois plus nombreux que les Français autochtones à commettre plus de trois actes graves
  • 68 % des délits peu graves sont commis par des adolescents dont un parent ou les deux sont nés en France
  • 32 % des actes peu graves sont commis par des personnes dont les deux parents sont nés hors de France
  • 54 % des actes graves sont commis par des adolescents dont un ou deux parents sont nés en France
  • 46 % des actes graves sont commis par des jeunes dont les deux parents sont nés hors de France
  • Les jeunes d’origine étrangère ne sont pas l’objet d’un contrôle policier plus fort dès lors qu’on contrôle le nombre de délits commis.

Preuve 5 : l’étude de Roché et Dagnaud sur les dossiers judiciaires dans l’Isère

Selon l’étude menée entre 1985 et 2000 sur les dossiers du tribunal de Grenoble par des chercheurs du CNRS : les Français autochtones sont 2 fois plus victimes de faits graves qu’ils n’en sont les auteurs. Les Africains d’origine (Afrique du Nord et subsaharienne) sont auteurs de faits graves trois fois plus qu’ils n’en sont victimes.

L’étude montre également que 66,5 % des mineurs jugés ont un père né à l’étranger (pour 49,8 % dans un pays du Maghreb), et 60 % ont une mère née à l’étranger.

Ces résultats font donc apparaître une très large sur-délinquance des jeunes issus de l’immigration, puisqu’en 1999 selon l’Insee, l’Isère n’est pas un département particulièrement marqué par l’immigration : celle-ci représente 6,1 % de la population. Deux tiers des mineurs délinquants sont d’origine étrangère alors qu’ils représentent une proportion largement minoritaire.

Preuve 6 : le fichier Canonge

Le Système de traitement des infractions constatées (STIC) est un fichier de police informatisé français. Dans le cadre du STIC, on apprend qu’en 2006 à Paris, le fichier Canonge comprenait environ 103 000 hommes, dont 29 % de Nord-Africains et 19 % de Noirs, mais seulement 37 % de Blancs. Le lien entre immigration et délinquance est ici très clair.

Preuve 7 : l’origine des détenus selon l’INSEE

Selon une étude de 2000, près de 40 % des détenus avaient un père né à l’étranger ou dans les anciennes colonies, et un quart dans un pays du Maghreb. Les hommes nés à l’étranger sont également deux fois plus nombreux en prison que dans l’ensemble de la population : 24 % contre 13 %.

Preuve 8 : le pourcentage de détenus musulmans

L’un des chiffres qui fait souvent débat est le pourcentage de musulmans parmi les détenus dans les prisons françaises. Un article publié dans le Washington Post en 2008 estimait que “60 % à 70 %” des détenus étaient musulmans en France. Ce chiffre était repris la même année par Le Monde dans un article.

Le sociologue Farhad Khosrokhavar avançait des chiffres du même ordre de grandeur dans son ouvrage “L’islam dans les prisons” paru en 2004. On pouvait y lire que dans les prisons françaises, le taux de prisonniers musulmans dépassait souvent les 50 %, avoisinant parfois les 70 %, voire les 80 % dans les prisons proches des banlieues, soit huit prisonniers sur dix”. Lors d’une Commission d’enquête sur la surveillance des filières et des individus djihadistes en février 2015, Khostokhavar réaffirmait son avis sur la disproportion considérable existant entre le pourcentages de musulmans dans la population et dans les prisons :

“Lorsque j’ai évoqué, en 2004, la fourchette de 40 à 60 % de détenus musulmans, cela a créé un tollé, car ni l’administration pénitentiaire ni l’opinion publique n’avaient d’idée à ce sujet : pour la première fois, on pointait du doigt un phénomène de société massif, qui avait échappé à la vigilance des uns et des autres. En réalité, peu importe le chiffre exact : ce qui compte, c’est la disproportion entre le nombre de musulmans dans les prisons et les 7 à 8 % de personnes qui se réclament de l’islam en France. Nous pourrions connaître le chiffre exact si nous avions la possibilité de mener des enquêtes statistiques exhaustives en France, mais la loi ne nous y autorise pas.”

Preuve 9 : le pourcentage de détenus étrangers

Une autre preuve du lien entre immigration et délinquance est le nombre de détenus de nationalité étrangère en France. Les données du ministère de la Justice révèlent que 22 % des détenus sont étrangers : 14 964 ressortissants étrangers sont détenus dans les prisons françaises, sur un total de 69 077 détenus au 1er février 2017. Parmi eux, quatre pays d’origine rassemblent 42 % de l’ensemble des ressortissants étrangers. Il s’agit de l’Algérie (1954 détenus), du Maroc (1895), de la Roumanie (1496) et de la Tunisie (1102).

Preuve 10 : les viols à Paris selon l’ONDRP

L’étude intitulée “ Les viols commis à Paris en 2013 et 2014 et enregistrés par les services de police ”, effectuée par l’ONDRP, porte sur sur un échantillon de 688 viols commis dans la capitale et qui ont fait l’objet d’une plainte. Parmi les mis en cause dans les affaires de viols sur majeurs dont la nationalité est connue, 52 % sont de nationalité étrangère. Concernant les viols sur mineurs, la part d’étrangers est de 22 %. Ces pourcentages considérables sont à comparer avec la part de la population de nationalité étrangère en France, qui est de 6 % !

Le supplice des tournantes dont plus personne ne parle

Pour finir, notons que selon l’étude du psychiatre Patrice Huerre publiée au début des années 2000, 72 % des « tournantes » en France sont commises par des violeurs d’origine maghrébine ou subsaharienne. Pour la question de l’appartenance ethnique des familles, 52 % sont originaires des pays du Maghreb, 20 % d’Afrique Noire, le restant des sujets étant issu de familles d’origine française.

Conclusion

Qu’il s’agisse des étrangers, des immigrés ou des fils d’immigrés, qu’il s’agisse des crimes, des viols, des actes peu graves ou des vols, le lien entre délinquance et immigration est mis en lumière par de multiples preuves.

Voilà une étude qui prouve l’ignominie du discours bien-pensant, qui sacrifie les victimes des violences et des crimes commis par des étrangers et des immigrés sur l’autel de la religion du vivre-ensemble.

Ce qu’a dit Éric Zemmour est donc la vérité. Le lien immigration-insécurité est une sinistre réalité, même si tous les détenus ne sont pas des étrangers, des immigrés ou des descendants d’immigrés.

Rappelons que Zemmour termine son interview en précisant : “pas à 100 %…”

Ce qui est certain, c’est que le discours consistant à nier tout lien entre immigration et délinquance, comme le fait Dominique Sopo, est un hypocrite déni de réalité qui ne peut que diviser la société.

Quand un immigré reproche à un autre immigré de s’être intégré, et quand on nie le racisme antiblanc, c’est que la société est au bord de la désintégration.

Non seulement Zemmour a raison de briser un tabou, mais c’est en disant la vérité qu’il nous évitera le chaos racial qui se profile et que les élites ont peur de regarder en face.

Dès lors que certaines minorités ne veulent plus s’intégrer, et que ceux qui s’intègrent sont diabolisés, l’urgence est de fermer les frontières. Toute immigration supplémentaire ne peut qu’aggraver la dislocation de la nation.

Tout autre discours politique nous conduira au chaos identitaire et racial.

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