La folie devient démence et produit les vocations les plus tyranniques et liberticides : ainsi cet intervenant, sur un plateau télévisé, appelant à envoyer la police chercher et emmener de force les personnes refusant de se faire injecter ce qui n’est pas un vaccin, au sens habituel du terme, mais un produit expérimental aux effets incertains…
Sur ces mêmes plateaux télévisés, comme dans les communications du ministre Veran et dans celles de ses annexes, tout y est parfait, sans problème dans le monde des vaccins antiC19 ; il faut être dérangé ou irresponsable pour se soustraire à ce qu’ils osent cyniquement appeler vaccin antiC19.
Dans cette courte note, je me limiterai à un chiffre, chiffre nécessairement connu du sieur Veran et de ses courroies de transmission : à la date du 25 juin 2021, on dénombrait, aux USA, 23276 décès dus aux prétendus vaccins.
On m’objectera que les USA ce n’est pas la France
En effet, les USA ne sont pas la France. Les USA ne sont pas devenus la France et l’on n’y camoufle pas encore le nombre de personnes décédées après injection du produit appelé, par contresens, un vaccin : des autorités politiques, des gouvernements locaux, ont pris la décision de stopper la « vaccination » et font opposition au « passe sanitaire ».
Dans mes précédentes notes, j’ai eu l’occasion de vous faire part des informations données dans l’enceinte du Sénat des Etats-Unis. Informations que, de Facebook aux plateaux TV en France, en passant bien entendu par les ARS et leur chef d’orchestre l’encore ministre Veran, on cache obstinément aux Français. Pour continuer de les apeurer et pouvoir les pousser vers ce qui ne sont pas des vaccins, au sens classique du terme, mais des produits et des procédés expérimentaux que l’on veut à toute force « tester sur les humains », pour reprendre les propos de Mark Zuckerberg, dans sa réponse adressée au mail du 27 février 2020 du parjure Professeur Antony Fauci.
A l’inverse, comme en attestent les communications officielles faites devant le Sénat américain et dans la presse scientifique non encore annexée par la clique Gates-Fauci-Zuckerberg, il existe un « plan B », comme dirait avec la peur dans la voix le journaliste Dassier, c’est l’ivermectine, sortant confirmée, tant des protocoles de soins mis en œuvre à grande échelle dans certains Etats de l’union indienne et confirmée par les études « randomisées » telles qu’on a reproché à l’IHU de Marseille de ne pas les avoir menées pour ce qui concernait l’HCQ.
A suivre car il y va de la liberté et de la vie de 9 milliards d’Humains…
Alain Rubin