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L’assassin aux vaccins prend peur

 Il trépigne sur place. Secoué comme un Orangina, il bavoche et s’étouffe. Perd le sommeil. Vire parano et porte des gilets pare-balles jusque dans les salons de l’Élysée.

Jean-Britt est très inquiet quand son amoureux tient des propos incohérents lors de ses sautes d’humeur inopinées. « Il  elle » a tremblé quand le gamin a éructé qu’il allait emmerder jusqu’à la garde ces salauds de Français non vaccinés. Et tous ceux qui ne veulent plus de ses poisons. Le retour de bâton pourrait être terrible !

Qui veut encore de ce guignol ?

L’horreur si ses sponsors du Nouvel Ordre Mondial lui rejouaient le même tour de cochon qu’à Hollandouille ! L’estimant plus grillé qu’une merguez charbonneuse.

Parce que, bon, un gay à la présidence, on n’est ni coincés ni puritains, on a fini par  s’y faire. Mais un ado attardé, pantin caractériel dont un succube au sexe indéfinissable tire les ficelles, ça finirait par faire jaser. Surtout quand des remplaçants « normaux » se bousculent au portillon.

Malgré les remarques désobligeantes et les brocards dont il a été la cible de la part de Trump, Poutine, Bolsonaro, Erdogan et même quelques roitelets africains, le tyran avait réussi à entretenir l’illusion qu’il était une pointure internationale. Il croyait que cela pouvait compenser la détestation et le mépris qu’il inspire aux Français. Seulement voilà… Depuis qu’il a voulu jouer au führer en Eurocrature, les humiliations et les dérobades  se sont multipliées.

Des chefs d’État ou de gouvernement n’ont pas le temps de le recevoir, la foule  l’accable de huées et de quolibets, des députés européens lui balancent ses 4 vérités, et des journalistes refusent d’entrer dans le subterfuge des questions-réponses convenues d’avance et préfèrent s’en aller. Le despote commence à retrouver le monde réel. Loin des thuriféraires de sa cour, des loufiats de ses merdias, et de ses « partisans» recrutés parmi les intermittents du spectacle.

Certes, nul ne peut l’empêcher de se représenter. Mais qu’il réfléchisse bien avant. Avec pour capitaux ses seules économies, sans l’appui inconditionnel des médias-menteurs et des sondeurs-truqueurs, il n’irait pas plus loin que la case prison, ayant perdu son immunité au passage.

D’autant que la remplaçante est déjà trouvée. Attali l’Attila des temps modernes, l’a prédit : « La prochaine fois, ce sera une vraie femme. » Et comme on peut douter qu’il ait sélectionné Marine ou Sandrine…

https://www.youtube.com/watch?v=zt4m7JqJUQw

Son salut serait dans la fuite !

McKinsey avait décidé du calendrier : Disparition de la grippe pangoline fin 2021, un petit rhume la remplace début 2022, et au printemps, le conducator clame que, grâce à ses décisions avisées et à son énergie indomptable, le mal est terrassé.

Avec en bonus la promesse qu’on reparlera des passes nazitaires aux calendes grecques. Raté, les moutons enragés ne broutent plus de cette herbe amère !

Macronescu sait que les sondages effectués par des instituts indépendants, Suisses et Belges, le placent dans une fourchette de 10 à 12%. Tandis qu’Éric, talonné par Marine, évolue autour de 16 – 18%.

Il reste cependant au despote une chance d’éviter la prison, et l’humiliation de partir dans le panier à salade sous les huées et les crachats de la foule.

Il pourrait même se donner le beau rôle : Jouer les preux chevaliers en déclarant qu’après réflexion, il a renoncé à se représenter parce que Jean-Brizitte est trop malheureuse de la campagne de calomnies déclenchée contre « ilelle ». Et ne pourrait pas supporter toutes ces méchancetés cinq ans de plus.

Il ne leur resterait plus qu’à prendre le jet privé que Soros met à leur disposition, pour rallier quelque pays d’Amérique latine qui n’a pas de convention d’extradition avec la France. Comme les nazis les plus avisés avaient préparé leur fuite avant la chute finale de Berlin.

Quelques destinations de rêve pour de très longues vacances

Au hit parade des pays qui n’ont pas de convention d’extradition avec la France, 2 États se détachent du lot : La Corée du Nord et la Russie. Mais je ne crois pas que leurs dirigeants seraient ravis d’offrir l’asile au conducator déchu. Et pas de convention d’extradition n’empêche pas le renvoi à la case départ.

Il n’y  a que la France pour garder tous les intrus qui s’incrustent sur son sol.

D’autres destinations semblent plus prometteuses : Le Mexique, l’Argentine, le Chili, et le Pérou.

Évidemment, il faudra au couple proscrit, changer d’identité et avoir recours à quelques rectifications de portraits grâce à la chirurgie faciale.

Mais de cela, nouveaux papiers, nouvelle tronche, Jean-Brizitte a l’habitude. Et si à son âge, bientôt octogénaire, elle n’en a plus trop besoin, l’ex vice-présidente pourra conseiller utilement le gamin.

Sinon qui sait de quoi il serait capable ? Peut-être de se laisser pousser une moustache virile pour ressembler à Staline, Saddam ou Maduro, ses rock stars préférées.

Tous ces pays sont gangrenés par la corruption. C’est un avantage. Tout le monde peut être acheté, aussi bien qu’en France, de l’alcalde du pueblo déshérité au ministre de la police. Mais ils sont aussi sensibles à l’opinion qu’on a de leur pays à l’étranger (el pundonor hombre !) Aussi il y a des apparences à respecter. La plupart des vieux nazis en fuite l’avaient parfaitement compris.

Surtout ne pas faire comme la braqueuse Hélène Castel d’Action Directe, rattrapée 24 ans après, à 4 jours de la prescription. L’imprudente assurée de l’impunité par Mitran et Chiracula continuait à recevoir à Jalapa son père, éminent universitaire français, gauchiste comme il se doit.

Sarko aurait versé une somme rondelette aux autorités mexicaines pour bénéficier de leur collaboration, car la corruption fonctionne dans les deux sens.

Le Mossad n’a pas hésité non plus à s’en servir pour qu’on ferme les yeux sur certaines de ses opérations.

Donc voilà, une fois en règle avec de vraies fausses « cedulas » au nom de Don Manolo Macronil El Chichón, accompagné de sa vieille mère Doña Birgita Trognosa  Foufouna y Cojones, le freluquet peut devenir méconnaissable en laissant sa calvitie libre de s’épanouir sur sa zone pariéto-frontale, une cicatrice en travers du front, des lentilles de contact vairon, et une barbichette de traître de films de cape et d’épée,

Bien sûr cela ne trompera personne chez les gens bien informés, pas plus qu’en France le grand amour de l’ado et de sa prof de théâtre n’avait été pris au sérieux, mais en versant des compensations financières à ceux qui en savent trop, la légende tiendra le coup.

Désenchantés mais pas désargentés

L’argentine n’a pas toujours été très regardante sur ses nouveaux arrivants. Pourvu qu’ils disposent de fonds suffisants pour investir dans l’économie ou l’immobilier et arroser les zotorités.

Mais attention à rester discrets ! Ce pays a eu assez de problèmes avec les embargos des donneurs de leçons drouadelomesques. Ses dirigeants ne veulent plus être accusés d’héberger des criminels. Les nazis l’avaient compris, qui préféraient vivre dans des haciendas agricoles isolées à l’intérieur des terres.

Ils furent 12.000, des ministres du Reich jusqu’aux simples SS et gardiens de camps. Discrets, fondus dans la population. Quasi indétectables. Seuls les hâbleurs comme Eichmann furent retrouvés ou liquidés sur place. Jouer à l’homme invisible était pour eux une condition sine qua non de survie.

Pour l’avoir oublié, et décidé de monter un restau en vue accueillant le tout Buenos Aires, le ministre socialiste Jean-Michel Boucheron qui avait laissé en 1991 un trou de 164 millions de francs dans les finances publiques pour s’offrir Ferrari, yacht et île privée, fut retrouvé par Interpol en 1995 et renvoyé en France, pour y accomplir un séjour effectif en prison d’environ un an.

Franchement, s’il était sûr de s’en tirer à si bon compte, qui ne se laisserait tenter par 25 millions d’euros qui ne demandent qu’à glisser dans sa poche ?

Chili con carnet de chèques

Depuis l’élection fin 2021 du jeune gauchiste Gabriel Boric à la présidence, dont le mandat commencera le 11 mars,  un fugitif peut hésiter à utiliser ce pays comme planque. On ne sait rien de cet éternel étudiant contestataire qui a profité d’une faille dans une révision constitutionnelle sans beaucoup d’électeurs en plein covid.

Son parti (une confédération des gauches entre folklore, caviar et marxisme) semble éprouver de la sympathie pour tous les bandidos. Cela devrait rassurer les délinquants de droit commun en quête d’un sanctuaire.

La région d’Atacama fut longtemps un refuge où, même au temps de Papy Nochet, on ne se fatiguait pas trop à faire la chasse aux castristes qui s’y étaient planqués. Mais ça manque un peu de distractions pour les habitués des soirées chaudes des clubs libertins. Ici la chaleur ferait fondre les couches de maquillage de Jean-Britt.

La proximité des Andes peut être un atout pour se cacher. Nombre de pueblos sont difficiles d’accès, et haut perchés, on voit venir les visiteurs de loin. Et puis les flics sont tellement mal payés qu’on ne se ruine pas trop à les acheter. Mais il y a  mieux juste à côté.

C’est le Pérou !

Curieux pays qui a hébergé avec une égale bienveillance les trotskistes traqués pas Staline et les opposants à Hitler, puis les anticommunistes des pays de l’Est et les hiérarques nazis en fuite.

À tel point qu’en 2018, la petite ville de Yungar a vu s’affronter aux municipales un « Lenini » et un « adolfo hitlero »

On y attrapé Barbie, mais Mengélé et des dizaines d’autres ont échappé aux recherches. On les suppose morts aujourd’hui. Les bunkers et les souterrains qu’ils  avaient fait construire avant WW2, juste au cas où, pourraient être récupérés et rafraîchis pour les Macr… Euh pardon : para el señor  Chichón y su madre doña Foufouna y Cojones.

Parmi les coins tranquilles où personne ne viendra déranger les fugitifs, il y a l’Amazonie péruvienne où des nazis ont pu s’épanouir pendant des décennies, sans faire parler d’eux, défrichant puis exploitant des domaines rentables, disposant de pistes d’atterrissage privées et de petites armées de mercenaires pour protéger leurs villages retranchés.

Depuis, leurs descendants biculturels hispano-germains sont devenus des notables avec lesquels ils faut compter. Mais le terrain est tellement isolé et difficile d’accès que des kyrielles de criminels du monde entier y ont trouvé refuge et y pratiquent de multiples trafics. Toute crapule peut y faire son trou tant qu’on ne lui troue pas la peau. C’est le paradis des huaqueros, pilleurs des tombes incas.

Ce serait amusant de voir le gamin devenir enfin un homme, le Colt sous la table, la Winchester sur les genoux, troquant des émeraudes et des pépites d’or contre de bons green back dollars. Commanditaire des aventuriers et banquier des truands, cela ne le changerait pas trop de sa vie d’avant. Peut-être pas à la même échelle. Mais il faut savoir s’adapter. C’est la loi de la sélection naturelle qu’il voulait imposer aux piquousés.

Macronescu serait sûrement le bienvenu, avec ses dollars dormant au Panama et aux Bahamas, dans ce pays aux multiples facettes. Où le gouvernement très catholique interdit aux gays de devenir policiers, mais où les médias s’amusent gentiment de l’homosexualité des étrangers qu’ils appellent « mariposas » (papillons)

À la différence des autres pays d’Amérique latine qui ont déjà pris un billet pour le train du mariage gay avec l’adoption homo et les mères porteuses au terminus.

Le Pérou ne fait pas qu’importer des fugitifs. Il en exporte aussi ! Ainsi l’ancien président Alejandro Toledo qui s’est fait la malle avec plus de 20 millions de dollars en 2017, après une brève escale en France, a préféré les USA où il enseigne à l’Université car il bénéficie de l’immunité tant qu’il peut aider la CIA à nettoyer son pays des narcos et des bolchos.

Exemple à suivre pour Macronescu qui n’est plus à un retournement de veste ou de jaquette près ?

Il se murmure que la Banque Mondiale, en récompense de ses diligences passées, lui aurait réservé un job d’exécutive manager à Washington DC où il bénéficierait d’un statut quasi-diplomatique, donc non extradable. Mais outre que la France peut opposer son veto, elle peut aussi lancer un mandat d’arrêt international, l’obligeant à rester bouclé sur place. Comme un gueux sans passe nazitaire.

Ni oubli ni pardon pour les tueurs à gages de Big Pharma !

Finalement, il serait plus peinard dans la jungle avec les jaguars et sa couguar.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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